Le docteur Chabbert, dermatologue libérale basée à saint-Grégoire, revient sur sa première expérience avec la lampe d’examen Triango 100.
La qualité est un critère important dans le choix de mes équipements et encore plus lorsqu’il est question de l’éclairage de mon cabinet. Comment bien travailler si l’on manque de lumière ?
J’ai fait quelques recherches, la Triango 100 de Waldmann m’est apparue comme étant la mieux adaptée.
- Une marque dont je connaissais le sérieux pour avoir travaillé avec leurs produits à l’hôpital,
- Un nombre de lux important pour voir correctement la zone éclairée,
- Un mix entre lampe d’examen et de chirurgie qui me permet d’investir dans une seule lampe,
- Une lampe qui semblait très maniable car sur pied avec une poignée pour le repositionnement
Très simple d’utilisation dès la première manipulation, je la trouve parfaitement adaptée à mes besoins de dermatologue médicale. »
Dr Chabbert Cécile, dermatologue vénéréologue à Saint -Grégoire (35)
Récemment installée en tant que dermatologue libérale, j’avais précédemment effectué une série de remplacements durant une période de dix-huit mois sur Rennes et aux alentours.
J’étais très attachée à mon ancien poste de praticien hospitalier dans un hôpital de périphérie du Sud-Ouest. Il signifiait pour moi grande variété des pathologies, des formats de prise en charge et, souvent, prise en charge globale des patients notamment âgés, le tout en équipe.
Suite à la mutation de mon mari, j’ai fait le choix de m’installer en tant que dermatologue libérale afin de pouvoir exercer mon activité avec encore plus de souplesse dans la gestion de mon quotidien. Lorsque l’on aime son travail et sa famille, avoir son cabinet à proximité du domicile est un vrai plus.
Je suis axée sur la dermatologie médicale, ce qui est déjà un domaine assez vaste. Je réalise de petites exérèses mais ne pratique pas le laser ou les injections.
De bonnes conditions lumineuses pour mes consultations, c’est loin d’être un détail
Du fait de mes expériences passées, j’ai eu l’occasion de constater qu’il arrive qu’un cabinet médical soit plutôt mal éclairé. Et cela bien plus fréquemment que je ne l’aurais imaginé.
Pour moi, investir dans un scialytique était l’évidence même.
D’ailleurs, de nombreuses études ont démontrées qu’un éclairage de qualité sur son lieu de travail agit positivement sur l’efficience et la productivité.
Compte tenu du nombre d’heures important que je passe au cabinet, je préfère prendre au sérieux cette dimension pratique de mes conditions d’exercice.
Les lux, un critère de choix important à mes yeux
Plus qu’un luminaire médical, le choix d’ un scialytique doit répondre à de nombreux critères Les paramètres techniques détaillés dans les catalogues de matériel médical sont nombreux, comment ai-je fait pour m’y retrouver ?
S’il y en a deux que je prends vraiment en compte, c’est le nombre de lux et le champ d’éclairage. Pourquoi ?
Car ces valeurs sont à la fois importante pour mon activité et sont des critères de comparaison simple à interpréter.
Ce qui m’a plus dans la Triango 100 ? Ses 100 000 lux et son champ d’éclairage de 18 cm à 1 mètre.
Je suis encore jeune, je sais que mes yeux sont encore capables de capter une grande partie de la luminosité ambiante et que par conséquent ce nombre de lux peut sembler trop important. Mais ce que je sais aussi, c’est que ce scialytique va devoir m’accompagner de nombreuses années ; années durant lesquelles ma perception de la luminosité baisera naturellement. Si je ne veux pas en changer prématurément, il faut y penser tout de suite. C’est vers l’âge de 40 ans que nous commençons à perdre significativement notre perception de la luminosité.
Waldmann, je connaissais déjà
Comme je le disais, plus qu’un simple « achat », je souhaitais investir dans une lampe qui va m’accompagner tout au long de mon exercice en cabinet, soit dix à trente ans.
Acheter du matériel de qualité me semble être le meilleur calcul afin de ne pas perdre de temps et d’argent à en changer d’ici quelques années.
Je me suis naturellement dirigée vers la marque Waldmann, marque avec laquelle j’ai déjà travaillé à l’ hôpital, avec d’autres modèles que la Triango 100. J’en avais toujours été très satisfaite.
Mes recherches l’ont confirmé, Waldmann était la seule marque vers laquelle je souhaitais me diriger pour mon scialytique.
Une bonne lampe « 2-en-1 »
La dermatologie médicale est un terrain large, qui va notamment de l’examen cutanée à l’examen de zones délicates comme les muqueuses ou la pratique d’exérèses cutanées.
Chaque type de consultation nécessite son propre système d’éclairage. Si une lampe d’examen plutôt classique peut faire l’affaire pour l’examen simple de la peau, ce type de lampe montre vite ses limites, notamment pour les petites chirurgies ou l’examen des zones génitales qui demandent plus de puissance lumineuse et un bon champ d’éclairage.
Je ne souhaitais pas investir dans deux lampes différentes, en plus du coût que cela représentait, c’était également une question d’organisation au sein de mon bureau.
Pour moi, la Triango 100 est une lampe de petite chirurgie qui est donc aussi parfaitement adaptée aux examens que je fais en cabinet.
La technologie LED permet un niveau de miniaturisation important par rapport aux anciens modèles de lampe de petite chirurgie à halogène. Sans compter que les LEDs ne dégagent aucune chaleur contrairement aux ampoules à halogène.
Réception et prise en main de la Triango 100
Après quelques temps de réflexion et de recherches sur internet pour m’assurer de mon choix, je suis donc partie sur la Triango 100, sûre de mon choix.
Commande et réception se sont passées sans heurts, même en ces temps de Covid.
Bien que je sois bien plus compétente en dermatologie qu’en bricolage, j’ai préféré m’occuper moi-même du montage de ma lampe.
J’ai choisi le modèle sur pied, roulant.
Même si cela semblait à priori plutôt simple, il nous a tout de même fallut être deux pour la monter, et faire preuve d’un peu perspicacité quant au branchement des câbles.
Une fois cette étape passée, la lampe est des plus simples d’utilisation :
- On la positionne à l’endroit souhaité,
- On la branche,
- On l’allume,
- Et on règle le niveau de la luminosité.
Le résultat :
- Une zone de travail parfaitement éclairée,
- Un travail plus efficace
Des roulettes et un bras vraiment pratique
Pour des raisons pratiques liées à mon statut de locataire, je ne souhaitais pas recourir à l’installation d’un scialytique au plafond ou au mur. Je me suis donc naturellement tournée vers la version sur roulettes.
Cela donne une maniabilité supplémentaire par rapport à un scialytique fixe.
Cela nécessite des prises électriques à proximité quoique le câble d’alimentation soit assez long.
Pensez-y bien avant.
Si les roulettes rendent ce scialytique particulièrement maniable, son bras permet de positionner la tête d’éclairage dans des positions précises à l’aide d’une seule main pendant une exérèse ou un examen de zone délicate.
Grande précision de placement et grande stabilité, c’est tout particulièrement important. Je ne veux pas devoir repositionner ma lampe toutes les 30 secondes ou me battre avec le bras compensé pour le mettre dans la positionné souhaité.
Le bras de cette Triango 100 est tout simplement parfait pour moi, il sait se faire oublier en accompagnant toujours mes mouvements.
Avec les roulettes et son bras qui offrent un excellent déport, la zone examinée ou le site opératoire sont toujours faciles d’accès.
La Triango 100, une lampe parfaitement fonctionnelle
Malgré un tarif élevé, la lampe de petite chirurgie Triango 100 répond à l’ensemble de mes attentes de dermatologue médicale :
- Matériel de qualité,
- Une lampe polyvalente,
- Pratique d’utilisation,
- Simple de prise en main,
- Performante en toute circonstance.
Un investissement que je souhaite amortir dans le temps, tant sur sa durée d’utilisation que sur la productivité qu’elle me fait gagner quotidiennement.
Je pense que la Triango 100 est le bon choix pour moi, mon cabinet et mes patients.